SCAN : « L’UFC soutient […] l’Opposition Républicaine ne peut garantir ni l’ancrage démocratique, ni .. »


Union des Forces du Changement (UFC) se retire du forum de partis politiques d’opposition dénommé (opposition républicaine) – le 16 décembre 2017

« L’UFC soutient qu’en l’état actuel et en raison du manque total de stratégies sérieuses en son sein et à la hauteur des enjeux existants, l’Opposition Républicaine ne peut garantir ni l’ancrage démocratique, ni l’alternance politique tels que souhaités par l’ensemble des populations et pour lesquels, elles ont consenti de multiples et énormes sacrifices »

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Alpha Condé, président de la Guinée – le 18 décembre 2017

« J’ai dit que j’ai pris la Guinée là où le président Sékou l’a laissée. C’est-à-dire que Sékou Touré a donné à la Guinée son indépendance politique. Donc, il faut le signaler qu’il a eu l’audace de dire Non en 1958 à la France. Malgré ses ambitions, il n’a pas pu donner l’indépendance économique à la Guinée » […] « Moi, mon rôle, c’est de donner l’indépendance économique à la Guinée »

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En marge du lancement des activités du Forum Guinée Business, plateforme regroupant le secteur privé et la société civile.

« Il y a beaucoup d’entreprises irrégulières dans la pêche, dans beaucoup de secteurs, et qui sont une mauvaise image de la Guinée. On doit les fermer. Je l’ai dit aux hommes d’affaires : ce n’est pas la peine de m’appeler. Si les services contre la répression ferment des usines, et ils vont fermer beaucoup, ce n’est pas la peine de m’appeler. Toutes celles qui sont dans l’irrégularité, on va les fermer. Et on va assainir la situation. Nous avons un casino qui est en train d’être géré par un bandit. Alors, soyez moins complices, s’il vous plaît de vos partenaires. Si nous voulons assainir, on doit assainir totalement. Le gouvernement est décidé à assainir, décidé à lutter contre l’impunité et contre le grand banditisme. Nous n’aurons pas d’état d’âme. Il faut que cela soit clair. La Guinée mérite d’aller plus loin ».

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Amadou Salif KEBE, le Président de la CENI

Lors d’une conférence de presse le mercredi 06 décembre 2017 sur les préparatifs des élections communales prévues le 04 février 2018.

« A l’occasion d’une loi rectificative, il nous a  été alloué 315 milliards de francs guinéens par l’Assemblée nationale. Sur la base de 115 milliards que l’Etat avait mis à notre disposition. Nous avons évolué en exécutant une bonne partie de nos activités. Mais, le gouvernement a pris, à travers le ministère des Finances et du Budget, un arrêté pour dire que le reste du montant va être puisé dans les dépenses communes de l’Etat. Les 210 milliards ont été mis sur les comptes de l’Etat au compte du Trésor public pour que, quand la CENI aura besoin de ses montants, qu’ils soient mis à sa disposition ; et, c’est ce qui est en train d’être fait. Au niveau de la CENI, on n’a pas eu des inquiétudes pour financer les élections parce que des engagements ont été pris par l’Etat guinéen et ils sont en train de les réaliser. Donc, aujourd’hui, sur ce qu’on a prévu, ce qui est mis à disposition, nous sommes à moins de 30 milliards du reste. Et, les 210 milliards vont nous mener jusqu’à la mi-janvier. La période de grosses dépenses, c’est maintenant »

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Bah Oury, banquier et ancien Vice-président du parti d’opposition UFDG

Sur la Loi de finances 2018, adoptée à l’unanimité par l’Assemblée nationale dans son volet RTS (Retenue Taxes sur le Salaire)

«C’est une taxation imposée sur les salaires qui sont relativement élevés. Les fonctionnaires de la fonction publique, d’après la grille salariale, ne seront pas directement affectés, mais par contre, ceux du secteur privé, seront affectés par cette mesure»

«La question qui se pose, lorsqu’une loi est votée, il est difficile de la retirer. Il n’y a pas une seconde lecture dans notre pays qui aurait pu permettre d’amender certaines dispositions législatives qui sont prises. Ce qui est étonnant, ce sont tous les députés qui ont pris cette mesure sans se rendre compte qu’une bonne partie des salariés guinéens n’émargent pas au niveau de la fonction publique mais plutôt, dans le secteur privé»

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Un scan réalisé par Sékou Chérif Diallo


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