SCAN: «La résistance à l’oppression est un droit constitutionnel, la résistance à la dictature est un droit constitutionnel [ ]» Cellou Dalein Diallo


SCAN POLITIQUE [archiver des paroles et des écrits]


Abdourahmane Sano, coordinateur national du Front national pour la défense de la constitution (FNDC) (à l’occasion de la marche dite de l’ultimatum du 6 janvier 2020)

« Alpha Condé n’est pas seul. Il est avec le président de la cour constitutionnelle qui s’est rendu complice de sa démarche. Il doit démissionner. Kory Kondiano, dont le mandat est terminé depuis le 14 janvier 2019, doit démissionner. Ces trois personnalités doivent désormais être dans la ligne de mire de notre combat pour les libérer des bandits qui les prennent en otage pour continuer à piller notre économie. »

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Cellou Dalein Diallo, président de l’UFDG (à l’occasion de la marche dite de l’ultimatum du 6 janvier 2020)

« La résistance à l’oppression est un droit constitutionnel, la résistance à la dictature est un droit constitutionnel, il faut qu’on se mobilise à partir du 13 janvier pour demander le départ d’un président qui a perdu toute la légitimité parce qu’il a violé la constitution. »

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Faya Millimouno, président du Bloc Libéral (à l’occasion de la marche dite de l’ultimatum du 6 janvier 2020)

« Nous sommes confiants quant à la possibilité du peuple de Guinée de se faire entendre. Il n’y aura plus jamais de 3e mandat dans ce pays. Ça, c’est terminé »

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« Il n’y aura pas de référendum dans ce pays pour une nouvelle Constitution. Nous avons également dit qu’il n’y aura pas une élection bâclée dans ce pays qui pourrait conduire à la violence. C’est pour cette raison qu’aucun parti majeur de l’opposition n’a déposé de dossier pour ces élections programmées et nous ne reculerons pas. »

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Sidya Touré, président de l’UFR (à l’occasion de l’assemblée générale hebdomadaire de son parti le 4 janvier 2020)

« Les Guinéens ont trop souffert. Je l’ai dit dans mon adresse à la nation. 2019 a été une année de perdu pour les Guinéens. [  ] En 2009, quand l’armée avait voulu confisquer le pouvoir, nous nous sommes tous levés pour faire en sorte que le pouvoir soit rendu au peuple. Nous poursuivons le même combat. Le pouvoir doit revenir au peuple conformément à la constitution. »

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« Nous sommes en 2020, c’est la refondation de l’Etat. Nous sommes dans un état néant, il n’y a rien, c’est une seule personne qui fait tout. [  ] Nous sommes tombés trop bas, notre pays est complément foutu »

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Sékou koundouno, responsable à la planification du FNDC (à l’occasion de la marche dite de l’ultimatum du 6 janvier 2020)

« On ne peut pas laisser un groupe de gangsters faire de cette Guinée ce qu’ils veulent dans l’illégalité totale. Le référendum se passera sur nos cadavres, car il n’y en aura pas et nous empêcherons la tenue de n’importe quelle élection truquée »

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