SCAN : « si l’opposition va aux législatives en février, ça sera seulement pour accompagner Alpha Condé » Aliou Barry


Aliou Barry, chercheur en géopolitique et consultant sur les questions de paix, de sécurité et de défense (Décembre 2019, Lynx fm)

« On n’a pas achevé le processus des élections communales. Curieusement, tout le monde parle de législatives, alors qu’on n’a pas installé les chefs de quartier qui sont les croix essentielles pour un hold-up électoral. [   ] Partout où il y a un fort électoral de l’opposition, il n’y a pas de récépissé, les machines sont en panne. Donc, si l’opposition va aux législatives en février, ça sera seulement pour accompagner Alpha Condé »

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Bah Oury, président de l’UDD (Décembre 2019)

« Nous souhaitons que le Président Alpha Condé soit également à l’écoute de son peuple. Et son peuple lui demande de renoncer à ce changement constitutionnel qui ne pourra rien apporter de bon au pays, ni à lui même, ni au RPG (…) »

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Sidya Touré, président de l’UFR (Novembre 2019)

« Les anciens du RPG qui se sont battus pendant 20 ans sont dans la misère. Même une vielle maison ils n’en ont pas. Ce sont ces opportunistes qui font la campagne d’une présidence à vie ou de changement de constitution qui sont en train de s’enrichir »

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Cellou Dalein Diallo, président de l’UFDG (Novembre 2019)

« Cette révision se fait dans des conditions chaotiques parce qu’il n’y a aucune organisation. Il y a un sabotage par l’institution chargée d’organiser les élections, la CENI et le gouvernement de la République qui devait veiller à ce que tous les guinéens puissent s’enrôler et voter. Mais, malheureusement, nous constatons qu’il y a une sainte pagaille partout dans le pays. On empêche les gens de s’enrôler dans les fiefs de l’opposition en disant qu’il n’y a pas de consommables, il n’y a pas de récépissés, la machine est en panne, l’agent est malade »

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Aliou Bah, président du Model (Novembre 2019)

Sur la révision du fichier électoral : « un échec, une catastrophe parce que la loi a été d’abord violée. Au lieu de trois mois prévus par la loi en termes de révision ordinaire, la CENI a imposé un calendrier de révision extraordinaire de 25 jours »

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Alpha Condé, président guinéen (Novembre 2019)

« L’avenir de la Guinée se décide en Guinée et ça sera fait par le peuple de Guinée ; comme nous l’avons fait en 1958. N’ayons peur de rien sauf Dieu, car unis, nous sommes capables d’aller loin »

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Un scan réalisé par Sékou Chérif Diallo


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